Malgré un Aouar de gala et un Caqueret présidentiable, l'OL n'aura rêvé qu'un gros quart d'heure face à un impitoyable Bayern. La faute notamment à un poteau de Toko-Ekambi, à un Depay sur courant alternatif, à un Guimarães aux abonnés absents et à une défense globalement trop légère pour contenir les assauts allemands. Dommage, on commençait à s'y attacher, à ces petits Lyonnais.
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