L'heure étant à l'effort collectif, le monde du football regarde d'un œil inquisiteur les joueurs réfractaires à baisser leur salaire au-delà de ce qu'impose la mise en place du chômage partiel. Mais pourquoi le feraient-ils ? Et, surtout, pour qui ? Un sujet épineux dans tous les clubs professionnels et en particulier à Monaco, en proie aux limites de sa politique aussi risquée qu'impersonnelle.En 2003, il était déjà question de chiffres et d'attachement à l'issue d'une saison qui avait vu l'AS Monaco retrouver le chemin des cimes sportives et creuser davantage encore son gouffre…
Retrouvez l'article complet sur : sofoot.com