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A l'occasion d'un entretien accordé au Parisien, Timothy Weah, prêté en janvier au Celtic, n'a pas caché son envie de s'imposer au PSG: "C’est toujours mon objectif. Je pense que si je travaille, je peux trouver ma place. Pour le moment, c’est un peu dur, parce qu’il y a les grands, mais j’y pense toujours. Je ne vais jamais lâcher. Ça dépend de la confiance du coach. S’il n’y en a pas, je ne trouverai pas ma place, donc on verra." "Si à l’âge de 19 ou 20 ans, tu arrives à gagner ta place à Paris, c’est quelque chose de ouf. Ça montrerait aussi que la formation est très bonne à Paris et que tu peux faire ton chemin", espère l'attaquant international américain de 19 ans, auteur de trois buts toutes compétitions confondues depuis son arrivée en Ecosse. Lire la suite

A l’heure de disputer leur première finale de Coupe de la Ligue face à Strasbourg samedi (21h05), l’En Avant Guingamp, par la voix de son président, chambre de façon assez gratuite le rival rennais. Lire la suite

Interrogé par La Repubblica jeudi, Carlo Ancelotti a affirmé que "les grands noms resteront" à Naples la saison prochaine. "J’ai une équipe très bien structurée et avec une marge de progression. Notre colonne vertébrale est solide: deux gardiens de but précieux, une défense fiable avec un phénomène comme Koulibaly, un milieu de terrain bien structuré avec Allan, Zielinski et Fabian Ruiz, des pions essentiels en attaque. Nous sommes voués à nous développer avec des investissements ciblés et en harmonie avec le club. Les grands noms resteront, Naples ne sera pas obligé de vendre et de réaliser des plus-values. Koulibaly aussi ne bougera pas", a insisté l'entraîneur italien. Selon La Gazzetta Dello Sport, le président de Naples Aurelio de Laurentiis aurait fixé le prix de l'international sénégalais Kalidou Koulibaly (27 ans) à hauteur de 150 millions d'euros. Un montant élevé pour un défenseur, qui pourrait freiner certains clubs intéressés, comme le Paris Saint-Germain et surtout Manchester United. Lire la suite

Les Rennais n'avaient pourtant rien demandé... Mais Bertrand Desplat n'a pas pu s'empêcher de chambrer ses meilleurs ennemis lorsque nos confrères de Ouest-France l'ont interrogé sur les festivités prévues en cas de succès contre Strasbourg samedi en finale de Coupe de la Ligue (21h05).  "Vous pouvez appeler les Rennais et leur dire que leur bus à impériale, prêt avant même leur finale, ils peuvent le garder, a répondu le président guingampais à une question qui ne mentionnait pourtant pas le voisin breton. Au pire, on prend une charrette ou le tracteur. On n’a rien prévu, mais on est assez réactifs." Desplat fait ici référence au fameux bus à impériale réservé à deux reprises par le Stade Rennais, avant même de s'incliner en finale de Coupe de la Ligue contre l'AS Saint-Etienne en 2013 puis l'année suivante en finale de la Coupe de France face... aux Guingampais.  Lire la suite

Dans une interview accordée au quotidien Le Figaro, Noël Le Graët revient sur les propos de Roxana Maracineanu, choquée par certains chants homophobes qu’elle a entendus au Parc des Princes lors du match entre le PSG et l'OM, le 17 mars dernier, dans le cadre de la 29e journée de Ligue 1. "Elle n’a pas l’habitude de venir au stade, c’est vrai que dans les piscines on n’entend pas ce qu’il se dit (sourire), réagit le président de la fédération française de football. Je peux comprendre que quelqu’un qui entend de tels chants soit choqué et je les condamne. Malheureusement, ce n’est pas un phénomène nouveau." "Je fais régulièrement le tour d’Europe et j’entends de tout…, ajoute-t-il. On n’a pas su, au fil du temps, empêcher les supporters de mal se comporter en étant plus sévère. Il y a quelques années, on assistait à des matches où ils se ‘?taquinaient’. Aujourd’hui il y a trop d’insultes, c’est vrai, alors qu’il n’y a quasiment plus de casse dans les stades." "Le sport est aussi plus fort que beaucoup d’événements, poursuit le patron de la FFF. Je veux bien qu’on le critique. Mais vous croyez que c’est mieux dans la vie, la rue, les cours d’école?? Regardons aussi ce qu’il se passe depuis quatre mois en France (avec les ‘Gilets jaunes’, ndlr). Je ne suis pas certain que le football ait beaucoup de leçons à recevoir." Lire la suite