Alors qu'il était un des rares joueurs à tenir la barque lyonnaise dans cette période houleuse, le nouveau capitaine Lopes a signé le geste achevant le chef-d'œuvre de mauvais goût des siens : une bonne relance à la main dans les pieds de l'adversaire, histoire de remettre une couche de risible dans cette soirée affreuse. Dur pour un garçon qui n'était pas habitué à lâcher les siens.C'est souvent ainsi que les sociologues de comptoir présentent le paradoxe d'être un binational : se sentir étranger à la fois dans son pays de résidence et dans celui de ses origines.…
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