Dans le derby azuréen, l'affiche des huitièmes de finale laissait rêveur : l'OGC Nice restait sur une série de quatre victoires en quatre réceptions, tandis que l'AS Monaco n'était plus à présenter. Dans un voyage au bout de l'ennui, c'est finalement le club princier qui l'a emporté grâce à Berbatov. Réduits à dix, les hommes de Claude Puel ont paradoxalement été meilleurs à dix contre onze. Le football a ses raisons que la raison ne connaît point.
Un derby, c'est un peu comme une histoire d'amour qui n'a aucune chance d'aboutir. D'un côté, il y a toujours des bons moments où l'on peut profiter de sa charmante compagne, en allant au ciné ou en…
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