La Côte d'Ivoire, le Kenya, Bordeaux, Paris et les États-Unis. Black Kent est du genre globe-trotter. Aussi à l'aise en français qu'en anglais, le rappeur est chez lui partout. Son album Vendeur de rêves, lui, est dans les bacs. À peine descendu de la scène du Réservoir, Blacky donne rendez-vous dans les loges. Le rap, le foot, le Parc, Drogba, Anelka et l'Afrique. Bref, tout y passe.
Ton album Vendeur de rêves est sorti en avril dernier. Tu es dans quel état d'esprit sept mois après la sortie ?
Je continue à le pousser parce que je crois beaucoup en cet album. Je l'ai vu encore ce soir, il y a beaucoup de gens qui se shoote à l'album, ça m'a redonné de la force pour continuer à le défendre. Je suis entré en studio tout de suite derrière et on entendra sûrement parler de Blacky avant la fin de l'année.
Tu te dis « Américain du bled ». T'entends quoi par là ?
Tout simplement ...
Retrouvez l'article complet sur : sofoot.com