Silencieux et studieux une bonne partie du match, celle lors de laquelle Paris a dominé et mené, le Bernabéu s'est transformé, après l'égalisation de Karim Benzema, en un piège qui s'est parfaitement refermé sur le PSG. Rappelé à ses pires démons, le club de la capitale a, une nouvelle fois, cédé à la peur dès que le Real a monté la pression."Quatre-vingt-dix minutes au Bernabéu peuvent être très longues." Ces mots, prononcés par l'ancienne gloire du Real Madrid "Juanito" Gómez González, résonnaient intensément…
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