Contre l'Albanie, la France avait eu le ballon sans même avoir eu besoin d'aller le voler dans les pieds ennemis, les deux dernières lignes albanaises abandonnant le contrôle de la sphère aussitôt récupérée. Cette fois-ci à Marseille, les Bleus ont dominé le ballon non pas par forfait, mais bien par la force et la finesse. Cette Suède très diminuée aura montré deux visages distincts, sans toutefois effacer ce reflet de Vikings sans drakkar. Pour Didier Deschamps, c'était l'occasion d'utiliser deux schémas différents et d'évaluer de nouvelles options.Si la charnière centrale Granqvist/Jansson est bien plus sereine dans les airs qu'au sol, ce 4-2-3-1 a montré ses vertus pour faire déjouer l'adversaire : le poids de Gignac devant, l'impressionnante…
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