Face à un Leipzig stérotypé et avant tout obsédé par l'idée d'allumer le moteur Timo Werner, l'AS Monaco a été comme prévue : soit, en pleine reconstruction. La faute à un onze bricolé en urgence par Jardim pour limiter la casse et à un collectif déréglé qui aura besoin de temps pour être de nouveau opérationnel.Un nouveau circuit permanent. Comme si l'AS Monaco était de retour dans la brume d'un été 2015 où elle avait chuté sans certitude lors d'un barrage de C1 face à Valence (3-1, 1-2)…
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