Quand le Paris-SG, nouvelle force de frappe financière depuis l'arrivée de QSI, rencontre l'OL, ancienne place forte économique du championnat de France, on a bien peur d'assister à un basculement du système. Et la prochaine arrivée à maturité de l'AS Monaco n'aide pas les choses. Aujourd'hui, le pognon reste le nerf de la guerre. En Ligue 1 plus qu'ailleurs.
« L'argent n'a pas d'odeur mais la femme a du flair » aimait balancer en rythme le meilleur duo d'attaquants des années 90 : Calbo et Lino. Y'a pas à dire, Arsenik avait vu juste. Le pognon,…
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