Avant d'être surnommé la "drogue du djihadiste" pour sa capacité à doper l'agressivité des combattants de Daech, le Captagon a prospéré au sein du football français. Certains joueurs ont révélé avoir gobé ces pilules d'amphétamine durant les années 80 et le début des années 90. Mais aujourd'hui encore, le tabou reste tenace.Stade de l'Abbé-Deschamps, milieu des années 80. L'AJ Auxerre de Guy Roux reçoit le Sporting Club de Toulon. Dans les vestiaires, côté toulonnais, des petits cachetons beiges passent de main en…
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