Ce samedi soir, Strasbourg a caressé l'infime espoir de gâcher la Messi shower du PSG. Au moins pendant une petite quarantaine de minutes entre le retour des vestiaires et le rouge d'Alexander Djiku. C'est peu, mais beaucoup à la fois. Car comme l'ESTAC avant lui, le RCS a montré aux autres clubs de Ligue 1 qu'il n'y aura pas plus grand kiff cette saison que d'écorner les rêves de gigantisme des Parisiens.Quitte à ne pas connaître le bonheur, autant gâcher celui des autres. Cette phrase pourrait être la devise d'une personne aigrie jusqu'à l'os, lassée de voir ses pairs étaler leur joie…
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