C'était au printemps 2002. Le FC Lorient était déjà condamné à un retour vers la deuxième division. Pourtant, cette année-là, la bande de Darcheville et Feindouno poussera le plaisir à deux reprises au Stade de France. Entre un ciseau de Pauleta, une Marseillaise sifflée, un trophée perdu et un soulevé par Rémi Gaillard. "C'est simple. Ce groupe avait une force : il savait faire la fête, toujours, même après une défaite. Avec certains entraîneurs, ça n'aurait pas pu passer, mais l'état d'esprit était…
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