D'un côté de l'avenue Perito Moreno, la villa 11-14, l'un des plus grands bidonvilles de Buenos Aires. De l'autre, le stade et le centre d'entraînement du club de San Lorenzo. Après une opposition informelle sur terrain réduit, les joueurs signent des autographes et prennent des photos avec la vingtaine de fans présents, puis filent à la douche. L'occasion d'intercepter Mauro Cetto, rentré au pays après 10 ans passés en Europe, dont la majorité dans cette Ligue 1 qui lui est chère.
Mauro, la Ligue 1, tu la regardes encore ?
Bien sûr, toujours, surtout les équipes dans lesquelles j'ai joué. Je suis très content pour Nantes, de retour en première division. L'objectif…
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