La première fois, il décroche de Marrakech. La seconde, de Bordeaux. C'est finalement descendu de sa colline corse, posé sur une terrasse d'Ajaccio, que Ludovic Obraniak répond. Un endroit d'où "il peut enfin capter" une petite demi-heure, le temps de parler de son transfert hivernal en Turquie, de la sélection polonaise, de Jean Fernandez et de foi. Bonjour Ludovic ! C'est vrai que tu aurais dû t'appeler Ludovic Ubraniak ?
Oui, c'est vrai. Quand mes parents sont arrivés en France, à l'état…
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