Alors qu'Antoine Kombouaré, le technicien du Racing Club de Lens, a publié lundi un ouvrage autobiographique, "Paroles d'un footballeur kanak", il a accepté d'évoquer le PSG, son précédent club en France de 2009 à 2011, avant son passage à Al-Hillal en Arabie Saoudite. Et devant nos confrères de Metronews, l'entraîneur du RCL assure ne rien regretter, même pas son éviction en janvier 2011 par le président Nasser Al-Khelaifi quand bien même son équipe était leader du championnat avec une longueur d'avance sur Montpellier. "Ses moyens ont évolué. Mais ça reste mon PSG parce que c'est une suite logique. La France devrait d'ailleurs remercier le Qatar tous les jours, a-t-il par exemple indiqué. Aujourd'hui, on parle de la Ligue 1 dans le monde entier. Qui aurait pu imaginer Beckham et Zlatan à Paris ? Les gamins rêvent de jouer dans les grands clubs. J'aurais aimé y rester mais j'ai aussi vécu mon éviction en 2011 comme un soulagement. Je ne regrette rien. Aujourd'hui, quand on se voit avec Nasser (le président, ndlr), on s'embrasse." Et de préciser sur une possible future destination après les Sang et Or : "Non ! Je ne pense jamais à demain. L'Angleterre m'attire mais si je n'y vais pas, ça ne changera pas ma vie. Et puis, Lens et son incroyable ferveur, son identité ouvrière, c'est une ambiance superbe, qui ressemble beaucoup au foot anglais. Un retour au PSG ? Plutôt en Nouvelle-Calédonie (rires) ! Sélectionneur ? C'est un métier de retraité, comme je dis. Moi, j'ai besoin de travailler au quotidien.Vous savez, je vis déjà un rêve."
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