Le souci d'anonymat de Siboy est sans aucun doute sincère. Mais ce rire, qui fait régulièrement vibrer l'épaisse cagoule que le rappeur porte même en plein été, même face à un journaliste de presse écrite, est si typique qu'il le trahira forcément un jour. Et c'est tant mieux.Comment t'es-tu retrouvé à vivre à Mulhouse ?
Avec mes parents, on a fui le Congo en guerre, lorsque j'avais huit ans. On a débarqué à Tours, puis à Paris.…
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