Décédé ce mardi à l'âge de 86 ans et président emblématique du Sporting Club de Bastia de 1973 à 1979, Paul Natali constituait une figure appréciée et brillante de la Corse. Avec, en point d'orgue sportif, une épopée européenne en 1978 achevée en finale de Coupe UEFA par une équipe qu'il avait lui-même construite.Dans les rues ensoleillées, mais forcément désertées de Bastia, la frustration ne peut s'observer ou s'entendre. Pourtant, ce sentiment a bien pris place à côté de l'appréhension et de la… Lire la suite
Elles ont la forme d'un terrain de football et les couleurs de l'AC Milan. Dans le train, le car ou l'avion, sur un banc ou un coin de table, les cartes traversent les générations. À l'heure d'Internet, des smartphones et des jeux vidéo, elles poursuivent leur vie anachronique dans le milieu de football. Just Fontaine jouait au tarot ? Bingo, Adrien Thomasson aussi. Pourquoi ? Comment ? Petite histoire d'une grande tradition.Les réacteurs tournent à bloc, les cerveaux aussi. Quelque part au-dessus de la Méditerranée, quatre hommes jouent aux cartes à bord du Douglas DC-9 de la compagnie Alitalia. D'un côté, Franco… Lire la suite
Touché par le coronavirus, Arnold Sowinski a lui aussi succombé à la maladie à l'âge de 89 ans. Dans le monde du football, l'ancien gardien et entraîneur du Racing Club de Lens était connu pour sa longévité et sa fidélité au club sang et or. Avec lequel il a notamment remporté un titre de deuxième division, atteint la finale de la Coupe de France en 1975 et battu la Lazio 6-0 en 1977.Il faisait partie de ces hommes qui n'existent quasiment plus, et qu'il est donc de plus en plus rare de trouver. De ceux qui ne vivent que pour un seul blason et ne tolèrent qu'une seule couleur.… Lire la suite
De la magie de Beckham aux patates de forain de Roberto Carlos, en finesse ou en puissance, enroulés de l'intérieur, tendus du cou-de-pied ou délicieusement brossés de l'exter', voici 100 coups francs très francs.
Angers-Toulouse (2-3), Ligue 1, 14 mai… Lire la suite
"Avec des bouts de ficelle, on a réussi de beaux trucs quand même." L'hommage est signé José Anigo et il est mérité. Car pendant les quatre ans de sa présidence à l'OM, Pape Diouf a su dessiner un effectif qui deviendra après son départ champion de France avec Didier Deschamps (un entraîneur qu'il a également fait venir à Marseille). Alors oui, la liste comporte aussi son lot de flops, mais là n'est pas le propos. Lire la suite