Dimanche soir dans une interview accordée au Canal Football Club, une émission diffusée sur Canal+, l'ex-entraîneur d'Ajaccio Fabrizio Ravanelli est revenu sur son départ de l'ACA: "Quand j'ai compris que je n'avais plus la confiance du club, la bonne synergie, j'ai tout de suite compris que le projet était fini. Quand un président vous dit que, même si nous gagnons, nous ne continuerons pas… à la sixième journée du Championnat, je crois que c'est quelque chose d'incroyable. (…) Un président, quand il choisit une personne, va jusqu’au bout. Le président, c'est mon point de vue, a certainement été influencé. Je crois que ç'a joué un mauvais tour, pas seulement à moi, mais à l'ensemble du club". Directement visé, Alain Orsoni a donc droit ce lundi matin dans les colonnes du journal L'Équipe à son droit de réponse. Et il nie: "Ma décision n'est intervenue qu'au soir du match face à Nantes. Je n'ai pas l'intention de polémiquer avec M. Ravanelli. Il a juste oublié un détail: il n'a gagné qu'une rencontre sur 18 (en comptant les matches amicaux, NDLR). J'assume ma part d'erreurs mais quand je vois qu'il ne fait aucune autocritique… C'est un peu facile de dire qu'on l'a jeté alors qu'il a un bilan au niveau des blessés - 41 en quatre mois, dont 26 lésions musculaires - et des victoires qui est catastrophique".
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