Face au Betis, le Stade rennais a déjà écrit la plus belle page européenne de son histoire. Une page qui s'est écrite avec les griffes, avec les dents et avec les tripes. Et qui laisse une grosse flaque de sang vert dans l'enceinte d'un Betis que chacun donnait pourtant favori.C'est l'histoire d'une forteresse imprenable pour les clubs français. Elle s'appelle Benito Villamarin. En 1995, le Bordeaux de Zidane s'y casse les dents (2-1). En 2002, l'AJ Auxerre de…
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