Loïc Féry voulait en faire un grand du foot français, mais même Rolland Courbis se cherche des excuses pour ne pas y venir. La onzième saison de suite en L1 du FC Lorient s'apparente pour l'instant à une vraie souffrance. Les discours démesurément ambitieux et optimistes de son président cachent mal une politique casse-gueule et peu en adéquation avec l'ADN du club comme de la ville.Août 2016, Loïc Féry, au moment de débuter la saison : "Il y a des petites musiques de compétitions européennes que j'aimerais bien entendre un jour au Moustoir. On va dire que je suis…
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