Actualités

Relativement costaud défensivement pour un groupe voué à lutter pour sa survie, le Stade Brestois, douzième de Ligue 1, traîne son total de matchs nuls comme un boulet. Tout Francis Le Blé attend le réveil de Nolan Roux en 2012, dont l'efficacité retrouvée ne serait pas un luxe pour s'assurer des lendemains plus sereins. On parle toujours des 42 points comme de la fameuse barre symbolique à atteindre pour s'assurer le maintien. Avec 21 unités à son compteur à la fin des matchs allers, le temps de passage du Stade Brestois 29 est facile à évaluer. Tout comme sa moyenne de buts marqués et de buts encaissés est simple à calculer : 19 buts pour, 19 buts contre, en 19 matchs. Logique lorsque l'on a partagé les points près de deux fois sur trois, finalement. Actuel douzième, le club breton est bien parti pour battre l ... Lire la suite

Alors que le licenciement de Bernard Casoni devrait être annoncé lundi après-midi, Evian Thonon Gaillard s'apprête à accueillir Pablo Correa, l'ancien entraîneur de l'AS Nancy-Lorraine. Lire la suite

Ouvert depuis dimanche, le mercato d'hiver s'achèvera le 31 janvier prochain. Ce lundi, la principale information vient de la Haute-Savoie, où Evian-Thonon-Gaillard, malgré sa bonne première partie de saison, s'apprête à limoger son entraîneur Bernard Casoni et à le remplacer par Pablo Correa. De son côté, Nancy a obtenu le prêt de Yohan Mollo, alors que Rennes souhaite réduire son effectif. A l'étranger, José Antonio Reyes clame sa volonté de revenir à Séville. Lire la suite

Yohan Mollo va rejoindre Nancy sous la forme d'un prêt. Lire la suite

2011 fut une année très politique pour le football français : polémique sur les « quotas », doutes sur les grands stades de l'Euro 2016 (avec le retrait de Nancy ou les soupçons autour de celui de Lille), élections à la FFF, crise du foot amateur, débat sur la qatarisation du PSG ou sur les supporters, sans oublier l'évincement du rédac' chef de France Foot sous le prétexte d'une interview trop complaisante de François Hollande. Justement, comment la grande famille des journalistes sportifs se comporte-t-elle face à cette politisation accélérée du ballon ? Longtemps tabou, l'engagement des journalistes sportifs, à droite ou à gauche, contraints ou volontaires, serait-il en passe de se banaliser ? Parole à la défense et aux premiers concernés? Certes le débat peut sembler spécieux, et même redondant, surtout après Knysna. Toutefois à l'époque, si l'ensemble de la presse avait analysé le traumatisme national dans toutes ses ramifications, souvent pour le pire, les journalistes sportifs ne pensaient en général qu'à sauver les Bleus du naufrage. Le sport s'est en effet toujours construit une rassurante ligne Maginot (c'est dire son efficacité !) autour du mythe de l'apolitisme coubertinicien (au passage le baron était un conservateur « é ... Lire la suite