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Paris, le club qui paie le mieux au monde

Selon une étude commandée par le magazine ESPN et réalisée par Sporting Intelligence, le PSG est le club qui paie ses joueurs le mieux au monde devant trois autres clubs européens. Thiago Silva, Zlatan Ibrahimovic, Blaise Matuidi, David Luiz ou encore Edinson Cavani n'ont pas à se plaindre de leurs conditions salariales dans la capitale française. Si cela ne faisait de toute façon guère de doute, c'est en revanche plus étonnant d'apprendre que le PSG est le club, tous sports confondus, qui verse en moyenne le salaire le plus important au monde et qui rétribue le mieux ses joueurs. Basé sur une étude commandée par le magazine ESPN, c'est Sporting Intelligence qui l'a mené et comparé du coup 333 équipes dans 17 championnats majeurs, couvrant pas moins de sept sports, réparties dans 13 pays pour un total de 9 731 athlètes. Mais, même malgré la présence de franchise de NBA, de NFL ou autres MLB et NHL, c'est donc les Rouge et Bleus qui arrivent en tête en termes de salaire moyen. Le club de la capitale verse ainsi une rémunération moyenne de 8,17 millions d'euros par an, contre 7,7 millions d'euros pour le Real Madrid et Manchester City qui complètent le podium. Quatrième, le Barça doit lui s'acquitter de 7,3 millions d'euros par an auprès de ses joueurs. Cinquième, et premier club hors football à faire son apparition avec 7,1 millions d'euros de salaire moyen par an, les Los Angeles Dodgers, la franchise californienne de base-ball, se hissent en revanche en tête en termes de salaires cumulés. Quand la masse salariale encadrée du PSG s'élève à 204 millions d'euros, la franchise américaine verse elle au total 245 millions d'euros. Mais qui sait si, sans les sanctions liées au fair-play financier, les Rouge et Bleu n'auraient pas déjà atteint cette marque record ? REVEALED - the best paid teams in global sport. Full story and report: http://t.co/RseJOIKTCd pic.twitter.com/8YE2I4vnTb— sportingintelligence (@sportingintel) 20 Mai 2015 Le classement complet des 333 équipes Lire la suite

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PSG: Des émissaires de la Juve pour Cavani

La Juve ne relâche pas son intérêt pour Edinson Cavani. La preuve, selon la Repubblica, des représentants du club turinois sont à Paris ce mercredi pour rencontrer leurs homologues du PSG concernant le dossier Edinson Cavani.  Championne d'Italie et finaliste de la Ligue des champions, face au Barça le 6 juin, la Vieille Dame, qui affronte la Lazio ce mercredi soir à Rome en finale de la Coupe d'Italie, rêve de faire revenir en Serie A l'attaquant uruguayen, deux ans après son départ du Napoli.  Mais les dirigeants piémontais doivent pour cela convaincre "El Matador" de baisser son salaire de 10 millions d'euros à 7 millions d'euros (bonus compris). Les négociations s'annoncent donc difficiles, même si la Juve dispose d'un atout de poids dans sa manche avec Paul Pogba, que les dirigeants qatariens rêvent de faire venir dans la capitale.  Lire la suite

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OM: Fanni vers la prolongation

A un an du terme de son contrat, Rod Fanni pourrait finalement prolonger son aventure du côté de l'OM. C'est en tout cas ce que croient savoir nos confrères du Parisien ce mercredi qui font état de l'envie des dirigeants marseillais de lui transmettre une proposition, sans préciser toutefois la durée de ce nouveau bail. A 33 ans, l'ancien Rennais, arrivé en 2010 à l'Olympique de Marseille contre une indemnité de transfert de 4 millions d'euros, a été titulaire à 23 reprises cette saison alors qu'il faisait initialement parti des joueurs qui devaient quitter le club. Mais plus fréquemment positionné en défense centrale qu'à son poste de formation (arrière droit), le natif de Martigues a finalement convaincu Marcelo Bielsa de le conserver. Lire la suite

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Blanc et Gasset ''ne sont pas des tordus''

Alors que Marc Planus mettra un terme à son aventure avec les Girondins de Bordeaux, son seul et unique club, à l'issue de l'actuelle saison, le défenseur international a évoqué son parcours, ce mercredi, dans les colonnes de L'Equipe. Il y parle notamment de Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset, les deux techniciens du PSG, qui avaient pris les rênes du club au scapulaire en 2007. "J'ai failli aller au Celta Vigo en 2006, puis à Auxerre, l'année d'après. Je n'avais pas plus d'affinités que ça avec Ricardo (entraîneur des Girondins de 2006 à 2007). Il valait mieux que notre collaboration s'arrête", concède-t-il d'abord. Mais d'ajouter : "Jean-Pierre (Bernès, son agent) me dit : « Attends jusqu'à demain soir. » Le lendemain après-midi, Laurent Blanc (le successeur de Ricardo) m'appelle. Je suis scotché. C'est une de mes idoles. Il me dit : « Passe au château (du Haillan). » J'y vais, il prend une feuille et griffonne Chamakh devant, Micoud en 10, Ramé dans le but... « Regarde, tu fais partie de mon projet. Je vais te construire un bouclier, avec une sentinelle devant et un joueur qui va compenser toutes tes faiblesses à côté de toi, qui va faire jouer l'équipe. » Blanc avait évolué à mon poste et il pouvait me faire grandir. Je suis resté. D'ailleurs, c'est lui qui m'a amené en équipe de France (1 sélection et 1 place dans les 23 lors de la Coupe du monde 2010)." Blanc et Gasset n'ont pas fait les girouettes Des années qui restent, selon lui, les meilleures de sa carrière : "Oui, avec ma première en pro, toujours très forte en émotions car tu découvres tout. Mais au niveau du foot pur et dur, c'est avec Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset (son adjoint). Il est difficile de les dissocier. Ce ne sont pas des tordus. Avec eux, j'ai notamment ressenti une adrénaline indescriptible en devenant champion de France à Caen (1-0, le 30 mai 2008), à l'issue d'un final surréaliste avec l'OM". Deux hommes qui, même dans les moments les plus difficiles, ont su garder l'adhésion de leur vestiaire. "Les gens disent qu'ils n'ont pas su inverser la tendance (lors de leur troisième et dernière année, ndlr). Dans ces cas-là, des entraîneurs deviennent paranos, tapent sur tout le monde, s'échappent face à leurs responsabilités. Eux, ils se sont battus, sont restés très dignes, et ils n'ont jamais craché sur les joueurs. Blanc et Gasset n'ont pas fait les girouettes. Et ça, dans notre milieu...", conclut-il.      Lire la suite

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Planus: Blanc et Gasset ''ne sont pas des tordus''

Alors que Marc Planus mettra un terme à son aventure avec les Girondins de Bordeaux, son seul et unique club, à l'issue de l'actuelle saison, le défenseur international a évoqué son parcours, ce mercredi, dans les colonnes de L'Equipe. Il y parle notamment de Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset, les deux techniciens du PSG, qui avaient pris les rênes du club au scapulaire en 2007. "J'ai failli aller au Celta Vigo en 2006, puis à Auxerre, l'année d'après. Je n'avais pas plus d'affinités que ça avec Ricardo (entraîneur des Girondins de 2006 à 2007). Il valait mieux que notre collaboration s'arrête", concède-t-il d'abord. Mais d'ajouter : "Jean-Pierre (Bernès, son agent) me dit : « Attends jusqu'à demain soir. » Le lendemain après-midi, Laurent Blanc (le successeur de Ricardo) m'appelle. Je suis scotché. C'est une de mes idoles. Il me dit : "Passe au château (du Haillan)." J'y vais, il prend une feuille et griffonne Chamakh devant, Micoud en 10, Ramé dans le but... "Regarde, tu fais partie de mon projet. Je vais te construire un bouclier, avec une sentinelle devant et un joueur qui va compenser toutes tes faiblesses à côté de toi, qui va faire jouer l'équipe." Blanc avait évolué à mon poste et il pouvait me faire grandir. Je suis resté. D'ailleurs, c'est lui qui m'a amené en équipe de France (1 sélection et 1 place dans les 23 lors de la Coupe du monde 2010." Blanc et Gasset n'ont pas fait les girouettes Des années qui restent, selon lui, comme les meilleures de sa carrière : "Oui, avec ma première en pro, toujours très forte en émotions car tu découvres tout. Mais au niveau du foot pur et dur, c'est avec Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset (son adjoint). Il est difficile de les dissocier. Ce ne sont pas des tordus. Avec eux, j'ai notamment ressenti une adrénaline indescriptible en devenant champion de France à Caen (1-0, le 30 mai 2008), à l'issue d'un final surréaliste avec l'OM". Deux hommes qui, même dans les moments les plus difficiles, ont su garder l'adhésion de leur vestiaire. "Les gens disent qu'ils n'ont pas su inverser la tendance (lors de leur troisième et dernière année, ndlr). Dans ces cas-là, des entraîneurs deviennent paranos, tapent sur tout le monde, s'échappent face à leurs responsabilités. Eux, ils se sont battus, sont restés très dignes, et ils n'ont jamais craché sur les joueurs. Blanc et Gasset n'ont pas fait les girouettes. Et ça, dans notre milieu...", conclut-il.      Lire la suite

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La communauté en parle

sam a ajouté un commentaire sur le match MetzvsNancy

il y a over 12 years

Le retour du derby lorrain! Metz Capitale!!!!
sam a ajouté un commentaire sur le match Caen0 - 2Metz

il y a over 12 years

Allez Metz!!!!
sam a ajouté un commentaire sur le match Nancy0 - 1Brest

il y a over 12 years

Dommage pour Nancy, ils auraient mérité lieux mais après avoir raté trop d'occasions en première mi-temps, ils s'exposaient aux contres. Brest a fait preuve de plus de réalisme.
lomax a ajouté un commentaire sur le match Marseille2 - 2PSG

il y a over 13 years

Gignac VS Ibra :) .... 4 beaux buts
pibedeoro a ajouté un commentaire sur l'article Nancy-Sami: "Rester costaud et solidaire"

il y a over 13 years

bientot la ligue 2 pour les ptits lorrains...
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